Société salanienne

Coutumes et croyances

Elles sont de plusieurs natures, mais ne sont enseignées que dans la famille ou par une éducation appropriée, car les coutumes et les croyances sont prises en charge par l’enseignement.

Problèmes actuels

Sala est actuellement en guerre contre Rahkzan et son peuple, les Tarians. La guerre est devenue une effusion de sang, et actuellement aucun des deux belligérants ne l’emporte de manière décisive. Mais cela pourrait changer rapidement. Les relations de Sala avec les Sakoiens sont tendues, mais paisibles avec les autres nations.

Mythologie et folklore

Sala est une terre riche en légendes, balades, poèmes, héros et monstres issus du passé, pour la plupart immortalisés, et des personnages fictifs sont nés de ces personnes qui ont autrefois vécu sur ces terres.

Parmi les histoires les plus célèbres, on connaît celle des Légions de Gqetak. C’est une vieille légende, celle d’un homme qui fit un pacte avec Lekmalior pour obtenir la vie éternelle. S’il aurait dû savoir qu’Adonai seul détenait le pouvoir de la vie, dans son avidité et dans son aveuglement il pensa que Lekmalior comprendrait son envie de puissance, et il se vendit au seigneur des Ténèbres.

Le seigneur des Ténèbres s’empara de son âme, mais Lekmalior lui avait menti. Au lieu de lui accorder la vie éternelle, il lui accorda l’errance éternelle à l’état de fantôme, lui donnant le rôle de faucheur des âmes damnées.

Evidemment, tout le monde connaît les légendes d’Edohein, inventées comme de nombreuses légendes de Sala. Edohein représente la liberté et l’espoir pour les Salaniens, et « Par la lame d’Edohein ! » est devenu un cri de guerre aussi souvent entendu dans la bouche des guerriers que « Par

Vie quotidienne

La vie des Salaniens est généralement régie par l’ordre. Les hommes et les femmes mènent leur vie comme ils l’entendent, mais souvent adoptent les traditions de leurs parents. De nombreux Salaniens portent au moins une épée, même s’ils s’en servent rarement dans l’enceinte des villes. L’attitude salanienne est d’espérer le meilleur tout en se préparant au pire. Les combats non-mortels sont monnaie courante et représentent une forme populaire de distraction. L’épée est l’arme la plus répandue, même parmi les simples citoyens. Mais lorsque le militaire est concerné, les lances de la puissante cavalerie salanienne entrent en action.

Dans la société salanienne, il n’existe pas de tâche insignifiante. Le fermier mérite autant de respect que le conseiller s’il fait bien son travail et agit honorablement. La vie quotidienne dans Sala est très diversifiée, aussi diversifiée que les gens qui l’habitent. Tandis que certains se consacrent à la vie de village et aux travaux des champs, Salandorf et les autres cités offrent une bien plus grande diversité d’activités. Néanmoins, toute activité est quantifiée selon une valeur appelée An’namai. Les lois de l’An’namai mentionnent qu’aucun homme ne doit recevoir moins de considération en raison de son statut supposé. Nous sommes tous inférieurs à Adonai, et en tant que tels nous n’avons pas le droit de nous proclamer supérieur à un autre. A ses yeux, il n’existe pas de grands ni de petits.

Le style de vie à Sala est lui aussi très diversifié. Néanmoins, un aspect commun à tous est une subtile simplicité. Les habits salaniens sont finement taillés et magnifiques, mais rarement surchargés ou grotesques. Les tailleurs salaniens sont réputés pour leur habileté à créer des habits simples et à ajouter de petits détails qui rehaussent l’apparence sans la surcharger. On trouve cet art très souvent dans les bordures brodées par exemple. Il s’agit souvent de petits symboles qui possèdent une signification pour le porteur ou le tailleur. C’est un travail méticuleux, et le résultat est à chaque fois impressionnant.

Le mariage à Sala est pris très au sérieux, et les divorces sont très rares. Divorcer est généralement considéré comme un acte déshonorant, car c’est revenir sur un engagement « jusqu’à ce que la main d’Adonai vous guide jusqu’à votre dernier repos ». Deux jeunes gens qui se courtisent sont fortement encouragés à s’assurer de leurs sentiments l’un pour l’autre avant de faire leur choix, et de longues fiançailles sont chose courante, car chacun est longuement conseillé par un prêtre d’Adonai. Lors de certaines fiançailles, on raconte que Guiden vient en personne pour offrir un peu de sa sagesse en conseillant les futurs époux. Dans toute cérémonie de mariage, l’Ancien Sage semble prendre un plaisir évident à participer à la fête, et bénit les deux jeunes mariés s’ils le lui demandent.

La structure familiale de Sala est souvent traditionnelle, mais les familles monoparentales ne sont pas complètement inconnues. Les hommes à la guerre laissent en général un parent masculin pour assister la femme pendant qu’ils sont partis. La plupart des enfants consacrent beaucoup d’efforts à leurs études, et il n’est pas rare de voir un vieil homme embaucher un jeune pour lui apprendre son métier. Les rôles et les compétences se transmettent ainsi de génération en génération.

Si les guerriers sont généralement tenus en haute estime, le pacifisme de Sala se manifeste parfois en mots bien sentis de la part des plus anciens de la société. Certains oublient que la paix que connaît actuellement Sala, elle l’a gagnée par l’épée. Malgré cette vision relativement négative, l’armée prospère et se développe. Sala prend soin de ses combattants.

Les Salaniens aiment la fête, et on dit qu’il n’existe pas de plus belle table que celles dressées à Salandorf pour les festivités du Remerciement. Le lendemain de la fin des moissons, les hommes et les femmes arrivent de toutes les régions, parfois même de l’extérieur du pays, et tous sont les bienvenus tant qu’ils apportent quelques victuailles à partager. La notion de possession est alors complètement oblitérée. La nourriture se trouve en abondance dans toute la ville, et tous peuvent à loisir profiter de la prospérité que leur a accordé Adonai.

Comme mentionné plus haut, le tournoi de la Lame d’Edohein est un des événements les plus attendus à Sala. Les hommes concourent dans leur propre ville, et les meilleurs partent pour Salandorf afin de participer aux derniers jours de ce grand concours. Le combattant le plus talentueux obtient un médaillon avec l’année de sa victoire finement gravée en runes par Guiden en personne. Remporter cette bataille est un immense honneur. Avec une culture bâtie sur un code d’honneur, les disputes entre Salaniens sont généralement brèves en public, ou bien durent longtemps quand elles ont lieu en coulisses. A Sala, l’honneur est un impératif. Adonai l’exige, la loi l’exige, et vos actes le font croître ou disparaître.

Au contraire d’une croyance populaire, Sala n’est pas pacifiste. On a souvent tendance à confondre pacifiste et paisible. Lorsque le besoin s’en fait sentir, Sala produit parmi les meilleures armes qui soient, portées par les guerriers les plus disciplinés. Les soldats salaniens sont entraînés à toutes les épreuves par leur chef militaire, Cael MacBane.

Certains soldats d’élite sont sélectionnés pour entrer dans la garde de Salandorf, et d’autres peuvent atteindre le rang de chevalier de Sala. Parmi les nombreuses récompenses, une des plus estimées est celle de Faucon Gris. Ces gardes d’honneur sont quelques élus parmi les plus courageux des combattants de Sala. Ce sont les gardes personnels de Mathar, entre autres choses.

La nation est un inflexible défenseur de la justice, et malgré son attitude paisible, parfois elle s’engage dans un conflit pour assister ceux qui sont injustement attaqués. La nation est une pacificatrice, et est dépositaire de la morale dans un monde en proie à la pourriture. Leur combat est celui de la valeur.

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